dimanche 28 février 2016







Et voici un an que ma mère
a quitté  ce monde.
Un an que je lui dédie ces bribes de poèmes
et ces bribes de peintures.
Célèbres ou inconnus peu importe.
 Merci à tous ceux qui transfigurent 
la souffrance en art 
au lieu de faire souffrir.   
Ma mère disait que seul l'art 
fait pardonner à l'homme d'exister.
Je ne pense pas autrement.






étude                                                              Irvin Rodriguez






C'était un temps de nuit et de nécessité
de saisons mal famées et de robes fanées
chacun savait le nom des chaînes
nul ne livrait son nom
et la mort des semaines lentement s'égrenait
dans les maisons des fous





Tristan Cabral 
"1984"